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SANS REFROIDIR NOUS CONTINUONS NOTRE SÉRIE BURKINABÉE AVEC LES BLANCS, ces êtres à la peau sensible et aux moeurs vraiment très bizarres.
Le blanc qui se rend pour ses vacances à Bobo peut trouver très sympathique le Burkinabé avec lequel il aime discuter, plaisanter et… marchander (nous emploierons ici le conditionnel du fait que les blancs ne pensent pas tous pareil). Le même blanc qui trouve très sympathique le Burkinabé aime faire la sieste, glander, se baigner ou se ballader en mob’ pour visiter les villages des environs de Bobo. Le soir, il sort se mêler à la foule des maquis (bars) dans lesquels il boit de la bière glacée en mangeant des brochettes. Il danse “fouka-fouka” — voire “ailes de pigeon” — en écoutant de la musique black saturée puis rentre tardivement se coucher en espérant trouver, dès le lendemain un maquis qui bouge encore plus…

A suivre avec… les Dumas-Ouari
Ode à Rosalie, Bobo, mars'06.
Notre barde chauve
chante Syracuse…

LES MANGUES, BANANES, AVOCATS, NOIX DE COCO et autres tubercules au goût sucré sont autant de repères gastronomiques qui font oublier le côté parfois pesant du riz gras à la sauce ’cahuètes. Pour ce qui est des boissons, la mousse en bouteille bien sûr mais aussi le dolo - la bière de mil - servie à grandes rasades dans des calebasses.
DE HAUT EN BAS ET DE GAUCHE À DROITE :
Guylaine à la gare TCV sous des morceaux de scotch (étiquetage des bagages) qui resserviront sans doute un jour… | Pascal devant un champ de riz à Bama | Petite Guylaine au pied du grand arbre | Pascal sur la route de Bobo (au loin) | Didier dans un cybercafé de Bobo puis, de dos, sur la moto asiatique qui nous ramène en ville | Pascal visitant le cimetière de Bobo | Guylaine se baigne aux “guinguettes”.